
Boîte de nuit recouverte sous ses propres cendres ou planète inconnue sur laquelle évoluerait une forme de vie extra-terrestre, l’espace scénographié par Nadia Lauro laisse toute place à l’interprétation. Les immenses boules à facettes qui jalonnent le plateau comme si elles y poussaient suggèrent d’ores et déjà un décor lunaire et magnétique, bientôt révélé au fil de GLITCH WITCH par les lumières de Nico de Rooij. Ici résistent encore quelques platines et une console son, mais tout autour semble dévasté. En ce lieu, le temps est désormais à la reconstruction.